LOGICIEL CALCUL RENDEMENT LOCATIF PLUS

As such, the minimum diameter cutting limit approach is seldom compatible with sustainable forest management. Such extraction rates create massive stand damage (>50% of the remaining tree population), which has a negative impact on the regeneration and growth of many harvested dipterocarp species. Minimum diameter cutting limits in mixed dipterocarp forests of the Malesia region lead to high felling intensities (101). Selective logging applied in tropical forests is based on one universal criterion: a minimum diameter cutting limit for all commercial timber species. Management of tropical forests for timber and nontimber products exist at local-community scales.

However, encouraging models of the successful sustainable These results beg for a reevaluation of the United Nationsįramework Convention on Climate Change proposals to apply a Reducing Emissions from Deforestation and Forest Degradation subsidyįor the widespread implementation of SFM logging in tropical forests. Once stored in logged timber and slash takes decades to rebuild. Recent studiesĪlso show that logging in the tropics, even using SFM techniques, releases significant carbon dioxide and that carbon stocks Therefore, industrial-scale SFM is likely to lead to the degradationĪnd devaluation of primary tropical forests as surely as widespread conventional unmanaged logging does today. The minimum technical standards necessary for approaching ecological sustainabilityĭirectly contravene the prospects for financial profitability. Cet article rappelle les contraintes opérationnelles de l'exploitation forestière à impact faible ou réduit, et préconise des approches pour la modélisation des rendements compatibles avec ces systèmes.Ī convincing body of evidence shows that as it is presently codified, sustainable forest-management (SFM) logging implementedĪt an industrial scale guarantees commercial and biological depletion of high-value timber species within three harvests inĪll three major tropical forest regions.

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Il est plus utile de se servir de modèles par arbre qui intègrent des données spatiales et produisent des résultats pertinents au plan opérationnel, comme les diamètres, les essences et la position des arbres. Ces modèles n'intègrent généralement pas les données spatiales générées par la planification, ils nécessitent des données beaucoup plus nombreuses et différentes de celles utilisées pour planifier les opérations d'abattage et ne produisent pas de résultats utiles à la planification opérationnelle des récoltes. L'absence de ce type de planification parmi les sociétés forestières est principalement due au fait que les modèles d'exploitation forestière en milieu tropical sont généralement basés sur des paramètres de zonage (modèles à l'échelle des peuplements ou selon les classes de dimension) qui ne sont pertinents que par rapport aux besoins de la planification à grande échelle. Cela aiderait les gestionnaires des récoltes et les arpenteurs forestiers à passer d'une optique purement opérationnelle à une optique sylvicole, en prenant en compte des paramètres tels que l'espacement, le recrutement et les tiges d'avenir lors de la planification des opérations d'abattage. Ceux-ci pourraient servir d'appui à la planification d'activités futures basées sur des modèles de croissance et de rendement permettant de prendre en compte des paramètres forestiers importants, comme le DBH et les essences présentes, et de cartographier la position des arbres. L'utilisation de systèmes GPS permet d'élaborer des bases de données spatialisées et des descripteurs clés des arbres.

Les sociétés forestières tendent de plus en plus à pratiquer un comptage à 100 % des arbres, associé à une cartographie par GPS, dans le cadre de systèmes d'exploitation à impact faible ou réduit. En général, les aspects sylvicoles ne sont, au mieux, pris en compte qu'implicitement dans les règlements sur l'abattage, et non explicitement dans la planification et les opérations d'abattage. L'expérience de sociétés forestières pratiquant l'abattage sélectif d'arbres individuels au Sarawak montre que leurs opérations ne sont encadrées en général que par une réglementation de base concernant par exemple le diamètre minimum d'abattage, les dimensions maximales des trouées ou les essences autorisées.

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